Il sera sur les écrans de RTL-TVI dimanche soir pour un spécial Fort Boyard Télévie. A quelques heures de la diffusion de cette émission enregistrée en juin dernier, interview express de Jean-Marc Nollet, chef de groupe Ecolo-Groen à la Chambre. Pour le coup, séquence people et légèreté pour Mon climat de Campagne qui rouvre l’espace de quelques instants son blog.

Mon Climat De Campagne. Fort Boyard, c’est près de la Rochelle. Et donc pas tout près. Vous y êtes allé par quel moyen de transport ?

Jean-Marc Nollet. En TGV le samedi matin, jour de l’enregistrement. La veille j’avais un Conseil de fédération d’Ecolo. J’ai donc rejoins mes coéquipiers déjà arrivés sur place également par le rail. Frédérique Ries quant à elle avait pris l’avion.

MCDC. ça ne nous étonne qu’à moitié. Elle a donc pété les plafonds en matière d’empreinte écologique et de dispersion de gaz à effet de serre.

JMN. Sans doute oui.

MCDC. Il faisait beau ce 18 juin ?

JMN. Beau oui. Mais le vent trop violent nous a empêchés de faire les épreuves en mer. Ordre de la police maritime. C’était une déception d’autant plus que j’avais emporté mon beau maillot de bain. Un Speedo trois-quarts moulant noir avec une bande bleu fluo.

MCDC. On comprend votre déception. Fort Boyard joue d’ailleurs assez fort sur la plastique des candidat(e)s. Satisfait de ce point de vue là ?

JMN. Je vous dirais ça après l’émission.

MCDC. Vos contacts avec Olivier Minne, qui pour l’occasion, n’était pas l’animateur mais bien un de vos coéquipiers ?

JMN. Distant au début, par la force des choses. C’était un peu comme si on venait jouer un match de foot dans son jardin. Mais les choses se sont améliorées une fois que les caméras ont commencé à tourner. Et il s’est bien adapté au groupe.

MCDC. A part Frédérique Ries (MR) et Olivier Minne, vos partenaires étaient Julie Taton, Paul Furlan (PS) et Anne Delvaux (cdH). Vous les avez trouvés comment ?

JMN. On a pu former rapidement une chouette équipe. Ce qui n’était pas gagné au départ. On vient quand même d’horizons politiques très différents.

MCDC. On a pu constater des convergences de gauche ou des cartels de droite ?

JMN. Ah, ça ce sera le téléspectateur qui jugera.

MCDC. Fort Boyard, c’est de la compétition ou de la coopération ?

JMN. Clairement de la coopération. On se met ensemble pour atteindre un objectif, qui est de récolter de l’argent pour un projet ou une œuvre humanitaire. Donc pas de compétition. Tout le monde doit rester le plus longtemps possible dans la course.

MCDC. Des candidats peuvent quand même se faire éliminer, non ?

JMN. En tout cas ici, ça ne s’est pas passé comme ça. Au point qu’en fin d’émission, nous avons dû sacrifier un coéquipier pour bénéficier du dernier indice qui devait nous permettre d’accéder à la salle du trésor.

MCDC. Et vous vous êtes sacrifié…

JMN. Anne Delvaux s’est proposée. Vu les difficultés techniques de la dernière épreuve, il fallait des candidats avec le bras long, si vous me permettez l’expression, pour récupérer les pièces en or.

MCDC. Après avoir investi Fort Boyard, vous vous sentez prêt à prendre d’assaut le fort de Huy ?

JMN. Oui. Mais sans doute dans une tenue différente. Et il me reste surtout à convaincre mes coéquipiers de la Rochelle…